polissonbi

Me revoilà après une punission importante, depuis une semaine je dois dormir à genoux contre le mur derrière la chambre des Maîtres. Je suis crevé et j'ai mal partout. De plus j'ai ordre de raconter pourquoi.

Jérôme et Éric ont organisé un week-end chez leur amie, à la ferme. J'étais terrorisée,  je voyais arriver ce que les Maîtres cherchaient depuis quelques temps. À savoir me faire saillir par un âne ou un cheval. Ce jour est arrivé mais en plus il y a 11 personnes dont 2 couples invités pour voir La Pute se faire défoncer. j'ai passé la nuit d'un vendredi au samedi, enchaîné dans un box à l'écurie nu comme toujours. Dès le matin les visites sont venus regarder la chienne promise au cheval, ils sont venus aussi toucher, cravacher, humilier, se vider et pisser sur l'esclave. Je ne me suis jamais senti aussi sale, couverte de spermes et d'urines, avec les odeurs, cagoulée et mains menottées dans le dos. Obligée de faire mes besoins dans la paille comme une truie.

La propriétaire des lieux à organisée le spectacle de mon remplissage pour le samedi 21h, après le souper. Je sens mauvais je suis toute poisseuse je ne sais quelle heure il est, la tête couverte, c'est la nuit depuis 2 jours la peur m'envahie, je tremble par moment, le froid mais surtout la trouille d'être détruite, d'avoir trop mal, de ne pas réussir a rester silencieuse pour respecter mon statut d'esclave asexuée et faire honneur aux Maîtres. Brusquement sortie de mes cauchemars, on retire la cagoule, je me trouve au centre du box, hagard, tirée dans le grand couloir, couchée de force au milieu, sur un chevalet couvert de cuir, les voyeurs sont là et je vois mon bourreau, tout gris, un âne, qu'un lad conduit derrière moi, on me badigeonne la chatte et des doigts fouillent durement, je suis foutue, la bête est sur moi, ses pattes avant sur les montants de bois, surprise par des coups brusques et rapides sur les fesses, dans les boules, j'ai hurlé l'énorme bite était entrée d'un seul coup, la douleur atroce et des va et vient furieux irradient mon ventre, c'est la démolition et le remplissage les coups sont plus lents mais plus durs des jets monstres cognent mes tripes, c'est chaud et apaisant il debande et se retire l'anus brûle, en feu, des spasmes me secouent tout le corps, je suis en larmes.

Les commentaires font de l'esclave une sous merde incapable de subir en silence, tous cravachent mon dos, mes fesses et les cuisses. Mais Maîtres viennent cadenasser la chaîne du collier au chevalet et mes genoux,  aux pieds de ce banc, mon cul bien ouvert, ma petite nouille et mes boules pendantes. tout le monde s'en va en se moquant de la sous salope qui nage dans sa souillure, en passant les mâles pissent sur la truie. Je ne sais combien de temps je suis restée là??? Une douche froide au tuyau d'arrosage m'a sortie de mes idées noires je sentais mon trou énorme et brûlant, je pensais que j'en avais fini des tourments, que j'allais laisser couler tout le jus d'âne, me laver enfin...

Grave erreur...

La suite plus tard.

Image de la vidéo de la déchéance d'une truie.

Pour la suite c'est simple, douloureux et très sadique mais aussi juste accepter et obéir.

J'ai vu arriver le lad avec son âne qui allait me saillir encore, je n'ai pas pu retenir des sanglots, il est monté tout seul et ma défoncé direct, du 1er coup, à fond, là non plus j'ai pas résisté et j'ai crié, sous les rires, les insultes. Cette fois, sans lubrifiant, mes tripes semble déchirèes, après 5 ou 6 coups, la bête se vide dans ma chatte déjà bien pleine, le sperme déborde, coule sur mes boules et la brûlure est trop fort je suis secouée de spasmes, c'est chaud au fond, il faut dire que ça apaise j'ai moins mal au ventre, c'est hors normes. Jérôme me détache, me léve je tiens juste debout, tous regardent la semence qui coule enfin, énorme un vrai lavement, le cul en feu je tremble comme une feuille, les voyeurs tripotent mon corps de partout, je suis un zombie, l'odeur forte du jus de roussin, une des femmes me fist au sperme, je ne sens plus rien, je suis vraiment cramé, sans force, Èric explique aux invités, que c'était le bus, l'épuisement, l'humiliation aux limites de la soumission totale d'une chienne, voir jusqu'où la salope va se soumettre...

J'ai donc étais puni une semaine pour avoir crié les 2 fois...

8 jours et je sens encore l'anus qui se serre super fort  de temps en temps sans que je puisse rien faire, quand cela dure trop longtemps une crampe douloureuse monte depuis l'intestin et s'installe pour 4 à 5 minutes puis ça disparait...

Pour pousser plus loin l'humiliation, Éric et Jérôme ordonnent ma soumission aux chiens Joss et Boby ainsi qu'aux chiens des visites et invités. Dès le 1er mai j'étais obligé d'obéir et de me soumettre. J'ai jamais aimé les clébs, j'en ai toujours eu peur, les Maîtres m'ont attaché sur le chevalet, impossible de me soustraire, les chiens sont arrivés au salon, ils ont tourné autour de moi, reniflé, léchè mon cul, mon sexe, joss est monté sur moi, j'ai demandé pardon, arrêtez Maîtres svp mais la réponse à été la cravache. Après 3 essais j'ai crié de douleur Joss m'a pénétré d'un coup, j'ai senti en moi son sexe gonfler, encore et encore, les larmes de souffrance et des gémissements ponctuaient les coups du cabot, les douleurs au fond de mon ventre, puis une grande chaleur m'a envahi, des jets puissants, voilà le plus dur, ayant vidé tout son sperme Joss commence à tirer pour sortir mais impossible tant que son sexe ne débande pas. C'est  comme si mon trou se déchirait, plus le chien tente de se retirer plus les douleurs sont fortes, 10 à 15 minutes et soudain flop! sa bite sort d'un  coup, laissant mon anus béant, visqueux et brûlant. Presque instantanément Boby vient aussi me saillir, le trou bien ouvert il est dedans la 1ére fois et ça recommence, il gonfle, gonfle encore, j'ai tellement mal que j'en tremble, il gicle, la chaleur me brûle au fond, les jets battent l'intestin. Je suis mort, tétanisé, épuisé, mes tripes sont pleines de jus de chiens, flop! Boby est sorti et léche mes fesses. Jérôme m'interdit de poucer je dois garder toutes les semences sans en perdre une goutte. Voilà 1 heure que j'ai le cul en l'air quand enfin Éric me détache et rappel de tout garder, je me relève en serrant bien pour éviter les fuites.

C'était la 1ère soumission de la Pute n°.20-177-653-351 au chiens, sur ordres des Maîtres. 

Les ordres permaments sont d'accepter toute demande des cabots, en tout temps et en tout lieu, se mettre instantanément 4 pattes et se laisser saillir sans bouger, jusqu'au départ des chiens. Malheureusement pour moi ils ont très vite compris qui était leur chienne offerte par les Maîtres, 24/7